Les études publiées, chinoises essentiellement, sont formelles : contraire- ment aux informations en circulation, on ne constate pas de surmortalité chez les asthmatiques par rapport à la population générale. https://bit.ly/34hjVkB
L’asthme et les allergies ne sont pas un facteur de risque spécifique dans l’infection à Coronavirus selon les résultats d’une étude clinique réalisée à Wuhan (Chine) sur 140 patients atteints par la maladie. https://bit.ly/2UCc4eq
Concernant les adolescents, l’étude récente chinoise Wu et McGoogan publiée dans le JAMA le 24 février rapporte que parmi les 44672 cas CO- VID confirmés, il n’y avait qu’1% d'adolescents de 10 à 19 ans. Aucun décès signalé.
Le Haut Conseil de Santé Publique place dans sa liste les personnes pré- sentant une pathologie chronique respiratoire susceptible de décompenser lors d’une infection virale... Ce qui ne concerne que "les asthmes chroniques sévères", précise la Direction Générale de la Santé. https://bit.ly/34cJP9r
Dans un communiqué, la Fédération française d’allergologie invite tous les asthmatiques à poursuivre la prise de leur traitement par corticoïdes inhalés. En effet, il n’a jamais été démontré que la prise de corticoïdes inhalés était un facteur de risque de COVID sévère. Il est indispensable pour les patients asthmatiques de continuer à se traiter pour que leur maladie soit contrôlée.
La Fédération française d’allergologie souhaite également rassurer les asthmatiques sur le fait que l’asthme n’est pas un facteur de risque de développer des formes plus sévères de COVID-19 les conduisant en réanimation, si l’asthme est bien contrôlé notamment par les corticoïdes inhalés.
Par ailleurs, en cas de survenue de problèmes respiratoires chez les per- sonnes qui se savent allergiques, la Fédération française d’allergologie appelle les patients à bien évaluer la nature des symptômes ressentis et à ne penser au COVID-19 que si ces derniers sont différents de ceux habituellement ressentis.
En effet, les mois de mars et avril sont propices au développement de rhinite, conjonctivite et asthme chez les patients allergiques en raison de l’arrivée des pollens d’arbres au nord et au sud de la France. Provoquant toux et sifflement, ces symptômes peuvent être confondus avec ceux du COVID-19. https://bit.ly/2RgFZql
La position de la SPLF est plus nuancée : "Dans l’épidémie actuelle de COVID-19, les asthmatiques ne semblent pas surreprésentés, d’après les données préliminaires dont on dispose. Néanmoins, il n’existe pas de donnée spécifique concernant les exacerbations d’asthme et a fortiori les exacerbations graves, en relation directe avec cette infection. D’un point de vue théorique, il n’est pas exclu que l’infection par COVID-19 puisse être responsable d’une exacerbation d’asthme". https://bit.ly/2whRMxv
Sur la base des données disponibles, nous considérons que les données sont rassurantes et que l’asthme léger à modéré bien contrôlé n’est pas un facteur de risque d’une forme grave de Covid-19. Celles-ci devront être confirmées par les données européennes en cours avec une analyse fine des critères de la maladie asthmatique telle que nous avons l’habitude de la considérer.
La saison pollinique arrive, les acariens prolifèrent avec l'humidité du printemps, le confinement dans les maisons augmente l’exposition aux allergènes et aux irritants, les bronches des asthmatiques sont plus irri- tables que jamais. Néanmoins, pas de panique, ce n’est pas parce que vous êtes allergique aux acariens, aux chats ou aux pollens que vous risquez davantage de développer une forme plus sévère du nouveau coronavirus. Les patients allergiques doivent poursuivre leur traitement habituel pour leurs allergies.
S’ils ne sont pas disponibles, n’hésitez pas à utiliser la téléconsultation. Elle vous garantit une consultation avisée pour le traitement dont vous avez besoin et elle est prise à charge à 100% depuis le 19 mars dernier.
Published studies, mainly coming from China, are formal: unlike the information that’s been circulating, there isn’t an increased mortality rate among asthmatics compared to the general population. https://bit.ly/34hjVkB
Asthma and allergies are not a specific risk factor in Coronavirus infections according to the results of a clinical study carried out in Wuhan (China) on 140 patients suffering from the disease. https://bit.ly/2UCc4eq
Regarding adolescents, the recent Chinese study Wu and McGoogan published in JAMA on February 24 reports that among the 44,672 confirmed COVID cases, only 1% were adolescents aged 10 between 19. With no deaths amongst them being reported.
The High Council of Public Health places on its list people with a chronic respiratory pathology that are likely to more adversely be affected during a viral infection ... This would mean it only concerns persons with "severe chronic asthma", the General Direction of Health stated more specifically. https://bit.ly/34cJP9r
In a press release, the French Federation of Allergology invites all asthmatics to continue taking their treatment with inhaled corticosteroids. Indeed, taking inhaled corticosteroids has never been shown to be a risk factor for severe COVID-19. It is essential for asthmatic patients to continue to treat themselves so that their disease is controlled.
The French Federation of Allergology also wishes to reassure asthmatics that asthma is not a risk factor for developing more severe forms of COVID-19 such as the need for a ventilator or to be placed in reanimation, if asthma is well controlled, in particular by taking inhaled corticosteroids.
In addition, in the event of respiratory problems occurring in people who know they are allergic, the French Federation of Allergology calls on patients to properly assess the nature of the symptoms experienced and to consider these to be related to COVID-19 only if these are different from those usually felt.
Indeed, the months of March and April are conducive to the development of rhinitis, conjunctivitis and asthma in allergic patients due to the arrival of tree pollen in the north and south of France. The resulting coughing and wheezing symptoms can be confused with those of COVID-19. https://bit.ly/2RgFZql
The position of the SPLF is more nuanced: "In the current epidemic of COVID-19, asthmatics do not seem to be overrepresented, according to the preliminary data available. However, there is no specific data concerning an increased severity of asthma, and more so with regards to serious exacerbations in direct relation with this infection. From a theoretical point of view, it is not excluded that a COVID-19 infection could be responsible for an exacerbation of asthma ". https://bit.ly/2whRMxv
Based on the available data, we consider the data to be reassuring and that mild to moderately well-controlled asthma is not a risk factor for a severe form of Covid-19. These will have to be confirmed by current European data with a detailed analysis of the criteria for asthmatic diseases as we are used to considering it.
La saison pollinique arrive, les acariens prolifèrent avec l'humidité du printemps, le confinement dans les maisons augmente l’exposition aux allergènes et aux irritants, les bronches des asthmatiques sont plus irri- tables que jamais. Néanmoins, pas de panique, ce n’est pas parce que vous êtes allergique aux acariens, aux chats ou aux pollens que vous risquez davantage de développer une forme plus sévère du nouveau coronavirus. Les patients allergiques doivent poursuivre leur traitement habituel pour leurs allergies.
S’ils ne sont pas disponibles, n’hésitez pas à utiliser la téléconsultation. Elle vous garantit une consultation avisée pour le traitement dont vous avez besoin et elle est prise à charge à 100% depuis le 19 mars dernier.